Encadenamiento. Enchainment.
Protesters would chain themselves to the gates of Congress
demanding information about their missing or imprisoned loved ones. (Gala Torres)
Families of the Detained and Disappeared protest before the Supreme Court
demanding to know where their loved
ones are ¿Dónde Están? and Truth and Justice. (Anita Rojas)
As imagens foram retiradas do post Chilean Arpilleras: A chapter of history written on cloth escrito num 11 de setembro (2010) por Margaret Snook: lembra o golpe que no Chile, em 11 de setembro de 1973, derrubou Allende e como mulheres registaram nas Arpilleras o que foi viver sob a ditadura de Pinhochet. Mas chegámos lá via exposição que está no Victoria and Albert Museum: Disobedient Objects. Sobre a exposição:
26 July 2014 – 1 February 2015: From Suffragette teapots
to protest robots, this exhibition is the first to examine the
powerful role of objects in movements for social change. It demonstrates
how political activism drives a wealth of design
ingenuity and collective creativity that defy standard
definitions of art and design.
Ou seja, a nosso ver, uma vez mais, o poder da arte - profissional ou amadora - nas mudanças sociais. Nesta exposição há Arpilleras como ficámos a saber através daqui, onde podemos ler:
A«près l’arrivée au pouvoir d’Augusto Pinochet au Chili le 11 septembre 1973, à la suite d'un coup d’Etat, son gouvernement militaire a exécuté, fait «disparaître», ou torturé des milliers de citoyens. Une exposition intitulée «Disobedient Objects» (objets de désobéissance), actuellement au Victoria & Albert Museum de Londres, contient quelques exemples d’arpilleras: des courtepointes (quilts en anglais) brodés par des femmes chiliennes pour dénoncer les injustices du régime.
La plupart des personnes qui ont disparu sous Pinochet étaient des hommes, et leur absence a provoqué beaucoup d’insécurité économique pour les femmes de leurs familles. Les arpilleras ne représentent pas uniquement l’aspect sanglant du régime, elles illustrent aussi les privations et humiliations de la vie quotidienne.
L’Eglise catholique, qui était opposée au régime, organisait des ateliers pour que les femmes puissent créer ces couvertures, et fournissait souvent le tissu et les fils. L’Eglise vendait ces arpilleras à l’étranger, et redistribuait ensuite l’argent récolté aux femmes. Le gouvernement a fini par interdire la possession et l’exposition des arpilleras, mais beaucoup ont continué à en faire à l’étranger».
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